AGIR POUR LA REUSSITE DES COLLEGIENS ET POUR L’AUTONOMIE DES JEUNES

Nous parlons cette semaine de réussite éducative et d’autonomie des jeunes. Le Département du Nord, le plus jeune de France, figure parmi ceux qui cumulent des fragilités sociales. Le soutien aux collégiens et aux familles les moins aisés ainsi que le soutien aux jeunes les plus éloignés de l’emploi, représentent donc un enjeu majeur pour notre territoire.

A travers les compétences du Département en matière de collèges, nous pouvons agir sur de multiples leviers pour favoriser la réussite éducative. Construction et entretien des bâtiments, participation aux frais de fonctionnement des établissements, restauration scolaire, équipement et raccordement numériques… Sur ces différents champs, nous pouvons nous mobiliser fortement afin d’offrir un environnement de travail favorable à nos collégiens et à la communauté éducative.

Les candidats Nord en Commun portent, à ce titre, une vision large, volontariste et engagée de ce que doit être la politique éducative départementale. Les actions du Département ne sauraient se limiter, stricto sensu, aux obligations minimum légales. Le renforcement des aides à la scolarité, du financement des projets éducatifs ou encore la réintroduction d’une participation départementale aux voyages scolaires, sont emblématiques de notre volonté d’apporter une valeur ajoutée concrète et utile.

Face à un monde ultra-connecté, souvent violent et difficile, les adolescents se laissent parfois aspirer par des usages numériques problématiques. C’est à ce titre que les candidats Nord en commun souhaite porter la lutte contre le harcèlement scolaire, notamment le cyber-harcèlement, comme grande cause départementale.

La politique jeunesse est également fondamentale. Il est indispensable de lui ré-attribuer des moyens humains et financiers à la hauteur de nos ambitions pour les jeunes nordistes. Nous voyons dans le Département un acteur essentiel pour aider les jeunes les plus précaires mais aussi les jeunes ruraux, qui rencontrent souvent des difficultés d’insertion accrue par rapport à leurs homologues urbains.

La prévention et le soutien aux 18-30 ans constitue un enjeu fort, à l’heure où cette tranche d’âge est la plus touchée par la pauvreté. A l’heure aussi où cette génération est marquée par une perte de repères généralisée, avec un décalage croissant entre les aspirations de cette jeunesse et la réalité du monde professionnel.